Tout à sa bonne volonté – passé de la conscience du privilège à “que faire maintenant ?” teinté d’un cer- tain désarroi –, Calimero semble en- fin, par ce choix confrontant de plus belle le théâtre au réel, ravaler le sen- timent d’injustice de son propre sort qu’implique son titre.
29/03/2021, Marie Baudet, La Libre, Calimero