Abandonnant pour une fois le dépôt à la commission d'aide aux projets de dossiers où l'on se creuse pour faire entrevoir à quoi pourrait bien ressembler un spectacle qui n'existe pas encore, Transquinquennal pratique aussi dans l'urgence pour ne pas rouiller son expérience et pour parler de choses brûlantes qui perdraient toute leur pertinence si elles devaient souffrir le délai des commissions subventionnantes.
31/05/1996, Christelle Prouvost, Le Soir, Transquinquennal Club n°1