«Aux prises avec la vie courante» est fidèle à son titre, miroir de la sincérité de l'union jusqu'au désamour. Échappant à la trivialité du très commun parce que justement il l'accepte d'emblée, le ton ici - dès le texte et jusqu'à la sobriété de son interprétation - a la force de l'infime. Une justesse rare en scène.
22/01/1997, La Libre Belgique, Aux prises avec la vie courante