D’un côté, plutôt les mots (quoique) et de l’autre plutôt les arts plastiques (quoique).
Est-ce une idée de (facteur) cheval de vouloir faire se rencontrer le théâtre et l’art contemporain ? Est-ce qu’une oeuvre peut passer d’une salle d’exposition à une salle de représentation dans un même mouvement ? Quand on met une œuvre d’art sur une scène de quoi ça parle, et doit-on payer deux fois ? Est-ce que, si on emmène l’art contemporain au théâtre, ça veut dire que le théâtre n’est même pas un art et même pas contemporain ? Transquinquennal est-il un Beuys Band ? Richard Venlet est -il un marchand de béton ? Dora García est-elle une entremetteuse (en scène) ? Qui va initier qui ? Qui va accoucher de quoi ? Le bébé est-il viable ? Que demande le peuple ?
Rien n’a plus de signification que ce que nous ne pouvons pas comprendre complètement. Rien n’est plus comique que l’honnêteté absolue. A partir de ces deux principes, un dialogue entre acteurs emmènera le public dans les sentiers complexes, simples, déconcertants, directs, contradictoires de la pensée de l’art contemporain. Selon ce qu’il semble, les artistes contemporains eux-mêmes n’échappent pas à la perplexité et à la complexité de leur propre travail…
Rien n’a plus de signification que ce que nous ne pouvons pas comprendre complètement. Rien n’est plus comique que l’honnêteté absolue. A partir de ces deux principes, un dialogue entre acteurs emmènera le public dans les sentiers complexes, simples, déconcertants, directs, contradictoires de la pensée de l’art contemporain. Selon ce qu’il semble, les artistes contemporains eux-mêmes n’échappent pas à la perplexité et à la complexité de leur propre travail…
Crédits
Production : Transquinquennal asbl (en résidence au théâtre Varia, Bruxelles)
Initiative et coproduction : Centre culturel des Riches-Claires
Avec l'aide de Komplot - Sonia Dermience
Captation du spectacle
Photos
Représentations
- 26/09/2006: Centre Culturel des Riches-Claires, Bruxelles (BE)