La Estupidez › Transquinquennal

LA ESTUPIDEZ : de stupiditeit. Rafael Spregelburd (1970) maakt er schitterend, overdadig, knettergek theater van. Hij beschrijft hoezeer onze huidige wereld vierkant draait, twijfelend tussen chaos en orde, tussen toeval en noodlot. Een wereld op zoek naar betekenis en geld.Maar wat betaal je voor betekenis ? En wat is de betekenis van geld ? Ligt die in Las Vegas ? Is er liefde mogelijk bij de politie ? Bestaat er een wiskundige methode om te winnen bij roulette ? Zijn ouvreuses in de bioskoop bereid hun lichaam te verkopen om een zielsverwant te vinden ? Wat is een schilderij waard waarvan de kleuren verdwenen zijn ? Zal de Siciliaanse maffia ooit doorstoten naar de Top 50 ?

In LA ESTUPIDEZ volgen de gebeurtenissen elkaar zo snel op dat de gevolgen de oorzaken voorafgaan. Het is de ultieme catastrofe, de grote finale van uitglijden over een bananenschil, of stappen op een hark. Het is de Nobelprijs voor het stomste eerst. Het gevolg ? De ervaring dat het geweldig kan zijn om je vrijwillig te laten beetnemen door je intelligentie en door je eigen dommigheid.Kunnen we onze stommiteiten overwinnen ? We kunnen er in ieder geval mee lachen.Let’s play.

PRIX DE LA CRITIQUE 2012; meilleure création artistique et technique (M. Szersnovicz), meilleur comédien (P. Sartenaer)

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Credits

Auteur: Rafaël Spregelburd
Vertaling: Marcial Di Fonzo Bo, Guillermo Pisani
Met (Franse versie): Bernard Breuse, Miguel Decleire, Kristien De Proost, Pierre Sartenaer, Mélanie Zucconi

Met (Vlaamse versie) : Kristien De Proost, Youri Dirkx, Peter Vandenbempt, Iris Van Cauwenbergh, Dirk Van Dijck
Dramaturgie: Stéphane Olivier
Decor en costumes: Marie Szersnovicz
Assistente decor: Anette Hirsch
Techniek en licht: Laurence Halloy
Management: Céline Renchon
Coproductie: Transquinquennal, Théâtre de la Place, Théâtre Les Tanneurs, Tristero.

Met de steun van de Fédération Wallonie-Bruxelles en de Vlaamse Gemeenschap
L’Arche is theateragent van de tekst. www.arche-editeur.com

Pers

Au-delà des figures caricaturales déambulant devant nous, c’est une critique du système libéral qui est mise en scène. La valeur de l’argent a pris le dessus l’humanisme. Une domination que l’on vit aujourd’hui en Europe, dans laquelle les Etats-Unis jouent parfois à l’arbitre. L’article complet
05/02/2016, Elise Lonnet, eyes-on-europe.eu

Pour leurs vingt-cinq ans, nous avons rencontré la compagnie Transquinquennal, actuellement au Théâtre Varia avec la Estupidez (la Connerie) de Rafael Spregelburd, prix de la Critique en 2012. Entretien avec Stéphane Olivier, Bernard Breuse et Miguel Decleire, les trois membres du noyau dur du collectif bruxellois. L’article complet
22/10/2015, Sarah Meurisse, karoo.me

C’est là le génie de Rafael Spregelburd et de la compagnie Transquinquennal : nous donner à voir une toile à la fois ordonnée et chaotique, avec son lot de hasards, et rendre au public la liberté et la responsabilité de lui donner sens, mais seulement s’il le veut. L’article complet
22/10/2015, Sarah Meurisse, Karoo

Une prestation époustouflante dans un mélange des formes et des genres (mélodrame, séries télévisées, road movie, séries américaines des années 70 ou le théâtre de l’absurde) et un délire total à voir ou revoir sans tarder. L’article complet
06/10/2015, Didier Béclard, L'Echo

Une pièce qui est une sorte de comédie complètement folle, qui traite à la fois de la bêtise humaine, son fond d'angoisse, d'absurdité et de l'argent. Puisque c'est la transposition de l'avarice chez Bosch. On n'est pas dans une série mais on a quand même une quantité de personnages, 25 personnages avec des histoires parallèles qui se déroulent. Et un vrai défi théâtral. L'auteur, qui est metteur en scène aussi, a donné du grain à moudre aux comédiens puisque ces 25 personnages sont distribués à cinq acteurs. L’article complet
02/10/2015, Isabelle Dumont, Musiq 3

L'une des pièces incontournables d'un grand auteur argentin sera jouée à partir du 1er octobre et jusqu'au 22 au théâtre Varia. C'est la pièce de rentrée du Varia. Pour en parler j'ai le plaisir d'avoir au téléphone Bernard Breuse. Bonjour. Bonjour. Vous êtes l'un des membres du collectif Transquinquennal et vous jouez dans cette pièce la estupides, pièce très connue et pièce assez extraordinaire. Oui, oui, c'est une pièce assez extraordinaire parce qu'elle permet à des acteurs de jouer plein de personnages dans une sorte de théâtre qui est inspiré de l'actualité dans le sens que... Il part dans son écriture des séries télévisées et il en fait quelque chose. C'est amusant d'ailleurs de voir que le théâtre reste ouvert à toutes les influences du monde contemporain. Et donc il en fait une sorte de maestrom, c'est une sorte de festival. C'est comme si on avait presque 5 épisodes qui se suivaient et on a toute la série en une fois. Et voilà, tout ça avec 5 acteurs qui jouent plein de personnages différents. L’article complet
18/09/2015, Antoine Lheureux, RADIO CHRÉTIENNE FRANCOPHONE

Entre le couvre lit bien tendu et le chaos, entre 20h30 et 23h45, on aura fait connaissance avec des vendeurs de tableaux volés voire inventés, des acheteurs potentiels, un couple de flics de la route, un groupe d’amis appliquant une recette au casino, un physicien utopiste et son fils poursuivi par des mafieux tatoués, une journaliste influente, des ouvreuses de cinéma bavardes (une surtout), une tétraplégique et son frère... Autant de prismes par où considérer et questionner notre monde, ses trop pleins et ses vides, dans cette comédie apocalyptique, vertigineuse, décapante. L’article complet
20/04/2012, Marie Baudet, La Libre Belgique

Deux flics, dûment casqués et bottés débarquent dans un motel de Las Vegas. Ils entrent dans une chambre, dialoguent de loin avec le réceptionniste, ferment soigneusement la porte et… s’embrassent à pleine bouche. Dès les premières minutes de La Estupidez (La connerie) de l’auteur argentin Rafael Spregelburd, on comprend que rien ne va se passer comme on pourrait s’y attendre. L’article complet
24/04/2012, Jean-Marie Wynants, Le Soir